1. Les remparts de la ville et les forteresses
Les remparts de la ville sont la plus grande attraction pour les visiteurs....
et un des systèmes de fortification les plus conservés en Europe, avec 1940 mètres de longueur, et qui possèdent cinq forteresses, seize tours et bastions. C'est le deuxième musée le plus attractif dans le monde qui se trouve en plein air et il est ouvert pour les visiteurs tout au long de l'année par trois disponibles accès -près de l'église Saint-Luc à l'est, depuis la porte Pile à l'église du Saint Sauveur et près du musée maritime-le fort Saint –Jean. En se promenant au long des murailles de la ville, vous recontrerez certaines forteresses qui ont servi à la défense de la République de Dubrovnik. Il y a cinq forteresses dont trois font l'element constitutif des remparts- fort Minčeta, Bokar et Saint-Jean. Il y a aussi deux grandes forteresses extérieurs, Lovrijenac du côté ouest et Revelin du côté est. La forteresse Minčeta, qui défendait Dubrovnik au nord, est située à l'extrème nord de la ville.
Le fort est le symbole de Dubrovnik et le drapeau flottant de notre patrie y est toujours presente. Pendant l'été vous pouvez voir aussi le drapeau Libertas de fort Minčeta. Le Fort Bokar situé dans le sud-ouest, également appelé Zvjezdan, se trouve à l'angle des murailles de la ville, en face le Lovrjenac. Il a été construit au 15ème siècle dans le but de protéger le petit port de l'ouest de la ville, le fosse et le pont de Pile. Aujourd'hui, il abrite une collection de fragments de pierre de la région de Dubrovnik. Le Fort Saint-Jean c'est la première tour quadrangulaire depuis le fort Mole, construite en 1346 afin de protéger le port de la ville du cote sud-est. Il ya longtemps qu'au fort on tirait la chaîne du quai au moyen d'un treuil. Un aquarium est situé au rez de chaussée du fort, tandis que au premier et au deuxième étage on trouve le musée maritime. Au pied du Fort Saint-Jean il y a un pilier énorme avec un phare - le célèbre Porporela, le lieu de rencontre des amoureux, un lieu de baignade et des promenades des habitants de la Vieille Ville. Porporela offre la vue sur fort Revelin, construite hors des murs dans la partie est de la ville. La forteresse imposante est reliée avec la partie continentale par la pierre et un pont-levis en bois, et le pont de pierre la relie avec la ville.
La forteresse qui était entourée d'un fossé sur trois côtés et entourée par la mer à la quatrième côté, a été une partie difficile de Dubrovnik a être vaincue. Le fort Revelin avait recu ses vrai dimensions et sa grandeur dans le 16ème siècle bien qu’il existait beaucoup avant. L’intérieur et la térasse du fort ont la fonction d’une éspace scènique et du salle de concert pour l’orchestre symphonique et les performances pendant le Féstival d’été de Dubrovnik.
2. Lovrjenac
À l'ouest de la ville on trouve le fort Lovrjenac qui s'éléve à 37 metres sur un rocher,...
Lovrjenac le symbole de la liberté de Dubrovnik, qui servait pour défendre la ville et la porte ouest de Pile. Au dessus de l'entrée du fort on trouve la fameuse inscription : NON BENE PRO TOTO LIBERTAS VENDITUR AURO (Tout l'or du monde ne peut acheter la liberté). L'annee 1310 c'est la première année qu'on mentionne la forteresse dans le documents officiels, même si on suppose que sa construction avait commencé beaucoup plus tôt. Pendant le Festival d'été de Dubrovnik la forteresse Lovrijenac fait partie des scènes internationales les plus appropriées à la représentation théâtrale de l'une des plus grandes oeuvres littéraires de tous les temps, "Hamlet" de Shakespeare. Parmi les acteurs plus connus qui ont joué la figure du malheureux prince danois nous citons Rade Šerbedžija, Daniel Day Lewis et Goran Višnjić.
3. Stradun
Les vieux habitants de Dubrovnik entrèrent dans la ville à travers deux entrées principales, l'entrée est à Ploče et l'entrée ouest à Pile.
Les ponts movables en bois ont été érigés et abaissé, ce qui signifiait que pendant la nuit l’accès aux intrus était impossible. En passant par la Porte Pile on descend jusqu'à la rue principale de Placa ou Stradun ou pendant l’été on peut souvent rencontrer la garde municipale costume. Le principal éspace communal à l’extérieur de Dubrovnik c’est la promenade de Dubrovnik qui est le lieu de rassemblement populaire et le lieu pour toutes les fêtes et processions populaires majeurs. C’est le Stradun, la rue de la ville la plus large et la plus belle qui divise la vieille ville sur la partie nord ; et le sud des artères commerciales principales de la vieille ville de Dubrovnik. Le Stradun a été crée au XIè,e siècle, lorsque on a couvert un détroit peu profond qui séparait l’ancien îlot de Lave et son établissement du continent ainsi que d’un autre établissement. La Placa avait recu sa vrai fonction à la fin du XIIème siècle, lorsque les villages urbaines se sont reliées dans une seule unité urbaine par une muraille unique. Le nom Placa vient du terme latin ‘’platea communis’’ qui signifie le lieu ou se déroulaient tous les événements publics les plus importants. L’autre nom Stradun est d’une origine vénitienne et il désigne une rue grande. Au début est de la rue principale se trouve la grande fontaine d’Onofrio qui a été nomme d'après le constructeur d'acqueduc de Dubrovnik du 15ème siècle 11.7 km de long, dont l'eau avait été introduit dans la ville en pierre de l'arrière-pays de Dubrovnik. Onofrio della Cava a construit deux fontaines. La plus petite d'eux est située près de la tour de la ville. Aujourd'hui c'est aussi agréable de se raffraîchir avec l'eau des fontaines de Dubrovnik, pendant qu'on entend les coups des heures chaud d'été des cloches. La tour de l'horloge a été construite en 1444. Elle a une hauteur de 31 mètres. Le célébre maître et fondeur Ivan Rabljanin a coulé en 1509 une cloche et les fameux ''verts'' de Dubrovnik, dit ''zelenci'', appelés Bara et Mara. Les ''verts'' de Dubrovnik sonnent chaque pleine heure avec les coups des heures réspectives et ''rebate'' après trois minutes, et ils sonnent de nouveau chaque demie heure. Entre la tour de l'horloge et le palais Sponza, s'installe Luža, viex beffroi dont la sonnerie annonçait les séssions du Conseil de la République de Dubrovnik, mais aussi l'alarme en cas d'incendies et autres sinistres. Le Luža a été construit en 1463 et restauré en 1952. Dans la partie gauche on trouve le monumental palais Sponza, d'un style gothique tardif et d'un style Renaissance, l'un de plus beaux palais de la ville qui a reussi à preserver son aspect d'origine jusqu'à nos jours. Le palais abritait, pendant la République, la douane et les entrepôts, si que on l' appele aussi le palais Divona (de dogana-''douane''). Dans l'immeuble était situé aussi l'Hôtel des monnaies et le trèsor. Le projet de ce palais a été fait par le talentueux ingénieur en chef Paskoje Miličević. Aujourd'hui dans l'immeuble Sponza se trouve l'institution- les archives d'état de Dubrovnik. C'est là qu'on préserve tous les documents qui comprennent la période allant du XIIème siècle jusquà la chute de la République de Dubrovnik, qui, par sa structure appartient à l'une des plus importants archives du mond. Particulièrement précieuse c'est la collection des livres de droit et parmi eux en particulier le Statut de Dubrovnik de l'année 1272. La colonne d'Orlando de Dubrovnik orne le caractère du chevalier médieval avec une épée, d'un sourire gothique typique sur son visage encadré de boucles, qui appartient à les Rolands les plus beau dans l'Europe entière. Il était construit par le contract en 1418 de Milan, avec l'aide des maîtres locaux. La colonne de Roland est un symbol de l'état dont la colonne on trouvait le drapeau de la Republique de Dubrovnik, et aujourd'hui on trouve le drapeau de la République de Croatie. Pendant la fête de Saint Blaise, le patron de Dubrovnik, la colonne de Roland est ornée par une bannière avec son image, et pendant le Festival d'été de Dubrovnik, par la bannière Libertas.
4. Les églises
Si vous etez à Dubrovnik pendant plusieurs jours, vous pouvez aller à la messe...
dans une de magnifiques et vieilles églises de Dubrovnik avec une atmosphère unique ou vous allez sûrement trouver votre paix dans la pénombre, les fleurs, l'odeur de l'encens....Ce sera tout le contraire de la lumière éclatante d'un soleil d'été qui se reflète sur la blancheur de la pierre se Dubrovnik et sur les couleurs vives des vêtements d'été des visiteurs de la ville. Vous allez probablement jouir la fraîcheur de l'intérieur de l'église après une épuisante ballade par les rues chaudes. Peut-être il vous suffit d'allumer une bougie du vrai cire jaune et vous pourriez être heureux que vous avez entré l'église Saint Blaise juste au moment ou quelqu'un joue l'orgue ou les rayons du soleil illuminent les vitraux avec une lumiere multicolore et ils renouvellent l'espace ombreux de l'église. L'église baroque est dédié au patron dubrovnikois, Saint Blaise, construite selon les plans du constructeur vénitien Marino Gropelli en 1715 sur le site de l'ancienne église romane dediée au même saint. Sur l'autel principal de l'église est conservée la statue de Saint Blaise doré d'argent, du Xvème siècle, qui est le travail des orfèvres de l'école dubrovnikoise. Outre la valeur artistique, la statue a aussi une valeur documentaire, parce que le caractère du Saint porte dans sa main gauche le plan de la ville de Dubrovnik sur laquelle on peut très bien reconnaître les monuments détruits dans le séisme dans le passe. L'église de Saint Blaise est situee au coeur de la vieille ville, pres de la colonne de Orlando. Au début de la rue principale, entre la Porte Pile et le monastère franciscain, se situe une petite église votive de Saint Sauveur, soulevée par la decision du Sénat de Dubrovnik en 1520 comme signe de gratitude au sauveur pour avoir epargné la ville de la destruction par un fort tremblement de terre apparu à cette époque à Dubrovnik. L'inscription monumentale sura la façade en est la preuve. L'église a été construite par le maître de Korčula, Petar Andrijić. Elle est restée intacte dans le tremblement de terre en 1667 et preservé dans sa forme originale. Elle est aussi l'exemple d'une harmonieuse construction de la Renaissance de Dubrovnik, dont l'espace est utilisé pour les concerts et les expositions d'arts. Les données histoirques de l'ancienne pharmacie fondée en 1317 jusqu'au tremblement de terre fatal en 1667, sont très rares. Au début elle était une pharmacie du monastère pour les besoins des frères franciscains, confermement aux dispositions de cet ordonnance sacerdotale. Au fil du temps, pour la plupart des raisons humanitaires et caritatives, la pharmacie a franchi le cercle étroit des murs du monastère et est devenue la pharmacie pour les habitants. La pharmacie est en fonction même aujourd'hui, et sa gamme de produit est toujours fabriquée selon les recettes anciennes, favorisee aussi par les touristes. La pharmacie est située près de l'église baroque à l'atrium du monastère franciscain, dont les chapiteaux sont ornés avec des examples du bestiaire roman. L'église comprend d'une salle pictoresque dans le style de la Renaissance, des archives de la musique, d'une riche bibliothèque et des objets d'art en argent et en or. La cathédrale de Dubrovnik de l'Assomption de la Vierge Marie existe dans sa forme actuelle à partir du début du XVIIIème siècle. Selon les registres historiques, l'ancienne cathédrale romane fut une église remarquable de luxe avec une coupole, richement decorée de statues. La legende dit qu'elle a éée construite avec l'argent votif du roi d'Angleterre, Richard Coeur de Lion après avoir survecu un naufrage près de l'ile de Lokrum en 1192 à son retour de la 3ème croisade. Pendant les travaux de restauration de la cathédrale en 1981, les restes d'une précédente cathédrale ont ete trouvés, dont les élément architecturaux déterminent ses origines entre le 6ème au 8ème siècle. Cette découverte a donne une nouvelle dimension à l'histoire des débuts de Dubrovnik, en gardant une preuve de la ville étant une communaute urbaine amenagée aussi tôt que dans le 7ème siècle. La cathédrale abrite aujourd'hui un riche trèsor où sont conservés les peintures et les reliques. Son abside garde le polyptique de Titien ''Assomption de la Vierge Marie'' de 1552. L'église de Saint Dominic est l'un des plus grands bâtiments dans le style gothique sur la côte croate. Elle a été construite selon un modèle architectural simple, ayant une seul nef avec une abside gothique, separee de l'espace restant de l'église avec trois ouvertures de haut avec les voûtes gothiques. Dans la voûte centrale au-dessus du maitre-autel on trouve un enorme Crucifix de Paolo Veneziano de 1343, lequel est un travail d'une valeur artistique exceptionnelle. Dans le monastère dominicain sont gardés les oeuvres d'art des maîtres de l'école de peinture de Dubrovnik du 15ème et 16ème siècle /Božidarević, Hamzić et Dobričević/, mais aussi la toile qui represente le patron de Dubrovnik, Saint Blaise, Saint Marie et l' ange Raphael, fait par le grand peintre Titien. Precieux documents de l'ordre dominicain, incunables et manuscrits, ainsi que la Bible du 11éme siécle et la collection des bijoux des orfèvres de Dubrovnik, sont également exposées à l'église.
5. Les places
La ballade dans les rues de la ville et le Stradun vont certainement vous amener .....
à quelques-une des nombreuses places de Dubrovnik. La place Marin Držić est située en face de la cathédrale. Elle mène dans le quartier de la ville Karmen, dans le port de la ville et dans l'Aquarium. Les Dubrovnikois l'appelèrent autrefois ''en face de Nôtre-Dame''. Les bâtiments qui se trouvent sur la place sont la cathédrale de Dubrovnik, le palais Sorkočević, la petite église de Saint-Barthelemy, ainsi que la galerie de Dulčić, de Masle et de Pulitike et la salle commémorative du ministre de l'économie americaine Ronald Brown, qui est décedé le 3 avril 1996 dans un accident dans l'avion americain sur le mont Saint Jean. La place a été nommé d'après Marin Držić-Vidra (Dubrovnik 1508-Venise 1567), dramaturge, poète, conspirateur et organiste de l'église. Il a étudié à Dubrovnik et en Italie. En 1541 il a été nommé vice-chancelier de l'Université de Sienne. Lors de son séjour à Florence en 1566, il tente de coinvancre Cosinni Medici de renverser le régime de la République de Dubrovnik et d' introduire un système dans lequel, mêmes les personnes qui n'étaient pas de naissance noble, pourraient governer. Dans ses oeuvres il a écrit sur les thèmes universelles de l'homme: de l'amour, de la nostalgie, de la jeunesse et de l'avarice. Ses oeuvres reflètent la plasticité des conditions de la vie. Les plus connues sont: Tyrrhène, Grižula, Plaisanterie sur Stanac, Venus et Adonis, l'Avare, Hécube et Oncle Maroïe. Dans sa comédie Oncle Maroie, Držić a donné la vision d'une société d'égaux, sans différence entre les bons et les mauvais, en y représentant la principale caractéristique de son temps-l'avarice. La statue du poète Ivan Gundulić (Dubrovnik 1589-1638) se trouve sur la place Gundulić. Formé dans sa ville natale, Gundulić était nommé recteur de Konavle deux fois, sénateur, memebre du Petit conseil et envoyé à un pacha de Bosnie. Il est consideré comme une des figures les plus significatives de la littérature baroque à Dubrovnik, et ses oeuvres sont marquées par l'esprit de la Réforme catholique. Ses motifs principaux sont la reconnaisance de la fugacité de la vie humaine, c'est-à-dire de la vie et de la mort. Ses oeuvres plus importants sont: Larmes du fils prodigue (Venitien, 1622), Dubravka (jouée à Dubrovnik 1628) et Osman (publié en 1826). Il a été enterré dans l'église des Franciscains où on garde les plus anciennes copies d'Osman de 1652, ainsi que une copie de 1826 qui était imprimé à Dubrovnik. Près de la statue de Gundlić du 19ème siècle, sur la place du même nom qui a été construit après le tremblement de terre désastreux en 1667, se trouve aussi la petite fontaine Amerling qui a été endommagée lors d l'agréssion en 1991. La place est le lieu du marché vert, où les habitants des villages voisins vendent leurs produits. L'escalier monumental baroque dans la partie sud de la place Gundulić conduit vers la place Ruđer Bošković. Les bâtiments qui se trouvent sur la place sont l'église jésuite de Saint-Ignace et le Collegium Ragusinum, le célèbre college jésuite dubrovnikois. Ce complex urbain est considéré par nombreux de gens comme le coin le plus baroque de la Dalmatie entière. L'église de Saint-Ignace a été terminée en 1725, selon le projet du célèbre architecte jésuite Ignazio Pozzo. Le sanctuaire de l'église a été peinte avec des fresques illusionistes du peintre baroque Gaetano Garcia, qui représentent des scènes de la vie de saint Ignace, le fondateur de l'ordre des jésuites. Perpediculairement à la façade de l'église y est juxtaposé l'immeuble du college des jésuites, qui avec ses lignes neutres et durs met l'accent sur la façade baroque de l'église et sur l'escalier qui mène vers la ville. L'architecte romain Pietro Passalacqua est l'auteur du remarquable escalier baroque. Conçus en 1738, l'escalier rappelle au célèbre escalier romain menant de la Piazza di Spagna à l'église de Trinita dei Monti.
6. L'île de Lokrum
Les premiers enregistrements de l'île de Lokrum de 1023 le mentionne comme le lieu de la fondation d'une abbaye et du monastère.
Selon la légende, Richard Coeur de Lion, lors de son retour de la croisade en 1192, trouva l'abrit sur cette île après le naufrage de son navire. En recompense, le roi decida de faire construire une église sur l'île où il était sauvé; pourtant il a partiellement rempli son voeu. Sur la requête des citoyennes de Dubrovnik , l'église fut construite dans cette ville et non sur l'île de Lokrum. En 1839, Maximilien de Habsbourg a visité et plus avant acheté l'île. Sur les ruines du monastère il a construit sa maison estivale avec un magnifique jardin, des sentiers pédestres et de promenades. Depuis l'époque des Bénédictins et de Maximilien de Habsbourg, jusqu'à aujourd'hui, la tradition du jardinage et de l'introduction de plantes exotiques et de végétation a continué avec la fondation du Jardin botanique dans l'année 1959. La majorité des especes végétales vient de l'Australie et de l'Amerique du Sud, tandis que la collection d'eucalyptus, de cactus et plantes succulentes. L'île de Lokrum est proclamée reserve naturelle en 1963, et Reserve speciale de végétation forestiere en 1976. Le lac nommé ''Mrtvo More'' (Mer Morte) se trouve sur l'île, celui-ci est relie à la haute mer, et est approprie a la baignade des enfants et des non-nageurs Au nord de l'ile se trouve le fort Royal, en forme d'étoile, qui a été construit par les français en 1806 et qui donne une vue époustouflante sur Dubrovnik, Cavtat et les îles. Il faut environ dix minutes du port de la ville pour arriver sur l'île de Lokrum, lieu d'excursion préféré à proximité de la ville, qui est encore appelé l'île des amoureux.
7. Trsteno
Le nom du village situé à vingt kilomètres à l'est de Dubrovnik.....provient du croate trstika qui signifie canne...
la canne pousse dans la région en raison de l'abondance de l'eau.
Dans un petit square dans le village se trouvent deux platanes d'Orient (Platanus Orientalis), qui sont âgés de plus de 400 ans et les plus grandes de cette espèce en Europe. La plus grande attraction de ce petit village c'est l'Arboretum Trsteno, le seul arboretum sur la côte adriatique croate, qui dans la richesse unique de ses valeurs unit le patrimoine culturel et celui naturel. Il est connu pour ses jardins historiques ainsi que pour la collection des plantes méditerranéennes et exotiques. Il a été construit en 1948 par une famille patricienne de Dubrovnik, les Gučetić-Gozze, autour de leur maison de campagne, et il est entièrement protégé comme un monument de l'architecture des jardins. Dans une superficie de 25 ha, Arboretum Trsteno, conserve plusieurs entités différentes- la maison d'été historique dans un style Rennaisance, le jardin historique du Neo-romantisme du 19/20ème siècle, l'olivier historique, ainsi que la végétation naturelle de chene madunca, de pin d'Alep et de cyprès, la végétation naturelle de maquis et des falaises côtieres. Dans la période de la Rennaisance, en 1494, Ivan Marinov Gučetić-Gozze construisit à Trsteno autour de sa maison de campagne une maison d'été avec un jardin. Cette villa et le jardin deviennent tôt l'un des centres de la vie culturelle humaniste de Dubrovnik. Dans cet espace arcadien créèrent et aimèrent nombreux poètes dubrovnikois, parmi eux, l'une des plus belles femmes de la Rennaisance croate-la poètesse dubrovnikoise Cvijeta Zuzorić. L'eau jusqu'à l'endroit le plus attractif de la rennaisance, Arboretum Trsteno-la fontaine dans le jardin, a été amené par un aqueduc à 14 archs de 70 mètres de long. En 1736, la fontaine Rénnaisance d'origine a été transformée en une fontaine baroque somptueuse représentant Néptune- le dieux de la mer et des eaux , comme une figure centrale de la composition des statues de pierre.
8. Les îles Elaphites
Pendant leur histoire les îles Elaphites se sont appuyées sur la ville de Dubrovnik et sur la République de Dubrovnik
qui ont été leurs possesseurs depuis le 11ème siècle. Selon les données historiques en 1727 le récteur de l'île de Koločep, Lopude et Šipan, a été elu. Ces trois îles ont été habitées depuis les temps anciens, comme en témoignent les vestiges de ruines illyriennes, ainsi que les toponymes grecs et romains. La familiarité avec la mer et les compétences marines ont ameliorés les conditions de vie sur les Elaphites, qui enregistrent leur épanouissement dans l'âge d'or de Dubrovnik dans le 15ème et 16ème siècle. L'archipel des îles Elaphites compte treize îles. Seules trois de ces îles sont habitées, Koločep, Lopud et Šipan. Au cours de votre séjour à Dubrovnik, ne ratez surtout pas la visite à ces trois îles avec le vieux bateau à vapeur Postira. Tous les trois peuvent être visitées en une journée et ainsi vous pouvez profiter de la visite à la petite église ancienne croate sur Koločep, de vous baigner sur la plage de sable de Šunj sur l'ile de Lopud, donner un petit coup d'oeil dans la maison d'été de la famille Skočibuha-Stjepović à Suđurđ et travérser le champ fértile de Šipan planté d'oliviers et de vignobles, près du palais du recteur jusqu'à la petite église de Saint-Stéphane dans la port de Šipan. Les îles possedent leurs propres spécialités gastronomiques. Les pêcheurs amènent le poisson fraîchement pêché dans la mer cristalline, et le goût des légumes cultivés écologiquement est renforcé par l'huile d'olive maison. Visitez le pavillon d'art appelé Your Black Horizon sur l'île de Lopud, qui a inclus l'île dans une carte touristique de l'art du monde. Une destination obligatoire pour les amateurs d'art moderne et des vacances d'été est le projet qui a été réalisé grâce à la Fondation de l'Art Internationale Contemporain Thyssen-Bornemisza (T-B A21), presidée par l'eminente collectionaire d'art moderne, Francesca von Habsburg. Le pavillon Your Black Horizon, qui est l'oeuvre conjointe de l'artiste dano-islandais, Olafur Eliasson et l'architecte londonien David Adjay, unit l'art et l'architecture. Elle est surtout spéciale pour son adaptabilité à un certain endroit et son environnement.
9. Srđ (Saint Serge) – le panorama et le musée
La colline Srđ (Saint Serge) s'éléve au-dessus de Dubrovnik, de part son flanc nord.
La colline Srđ est haute de 413 mètres, et la forteresse monumentale Imperial se distingue sur son sommet, construite sur un point stratégique en 1810 durant l'occupation napoléonienne. Pendant la guerre d'indépendence, le Fort Imperial, a joué un role très important comme la première ligne de défense de Dubrovnik. Près de la forteresse se trouve une grande croix en pierre, faite de la fameuse pierre de l'ile de Brač qui a été donné en 1933 à Dubrovnik par l'archdiocese de Brač et de Hvar. La croix d'origine a été detruite pendant la guerre d'indépendance, ainsi que après la guerre une nouvelle croix était placée, aussi don par l'archdiocese de Brač et de Hvar. Une magnifique vue s'etend depuis la colline sur Dubrovnik et ses environs, cette colline est donc un endroit apprecié pour la photographie. L'exposition du musée sur la Guerre d'Indépendance se trouve dans la forteresse Imperial, ou sont exposés tous les types d'armes et d'obus qui sont tombés sur la ville durant le bombardement, des documents et
10. Le port de la ville et Lazareti
Dans le passé Dubrovnik a été le carrefour des caravanes.
Il y avait un risque élevé d'infection par la peste, donc les citoyens de Dubrovnik construirent le lazarete qui servaient de quarantaines. Le règlement de 1377 dans le Liber viridis sous le titre ''L'entrée à Dubrovnik et ses environs est interdite aux nouveuax arrivants en proie à la peste'', imposa à tout homme arrivant d'un lieu infécté de passer 40 jours dans des endroits séparés à Cavtat et dans les îles de Mrkan, Bobara et sv Petar (St Pierre). C'était la base pour la construction des premiéres quarantaines dans la République de Dubrovnik. Tous les marchands, en particulier ceux des endroits contaminés par la peste, les marins et ceux soupçonnés d'avoir la peste, durent rester dans la quarantaine avant d'entrer la ville. Dans l'histoire de lazareti de Dubrovnik on trouve décrite toute l'histoire de la défense contre la peste dans la République de Dubrovnik. Le dernier lazaret construit c'est celui qui se trouve à l'entrée Est de la ville, a Ploče. La construction de ce lazaret a été fini définitivement en 1642, et il était compose de 5 bâtiments (lađa). On entrait dans chaque bâtiment par l'escalier, et les couloirs devant les bâtiments étaient connectés à un vaste espace commun. Le lazaret avait ses reservoirs d'eau, et les autorites de la ville lui envoyerent des prêtres, des medicins, des chirugien-barbiers et un nobre suffisant de personnel. La règlementation relative à la mise en quarantaine était stricte et rigoureusement appliquée.
Les lazarets son très bien conservés et certains bâtiments sont utilisés comme espace pour divers ateliers d'art et d'artisanat, scènes por les représentation de l'ensemble folklorique appelé Linđo, de l'association de jeunes artistes etc. Paskoje Miličević (né autour de l'année 1440) devient inginieur municipal déjà en 1466. La construction du bastion de St Luc situé à l'entrée de la ville et les autres construction dans le port dubrovnikois (1484), lui apportèrent une grande renommée. Selon un de deux propositions envoyées au conseil, Miličević avait commencé avec la restauration du port. Avec la construction de la digue -Kaša– la zone portuaire est devenue protégée contre les grosses vagues, amis aussi des ennemis. Jusque-là, le port a été protégé par la chaîne qui allait du Fort- Jean jusqu'au Fort Saint- Luc. Le même maître avait fait la restauration de la nouvelle porte de Ponte, construite selon le projet de Juraj Dalmatinac. Miličević avait commencé avec la restauration du port vers le début du XVIème siècle. Au XIXème siècle sous le gouvernement autrichien, Peskarija, le front de mer et la digue de Porporela ont été construits. Dans le port de la ville se trouvaient aussi le grand et le petit arsenal pour la construction et la réparation des bateaux et navires, qui sont devenus plus tard des restaurants, l'Arsenal et le Poklisar.